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Cet après-midi là, les chats ronronnaient si fort que je n'entendais plus Depardieu geindre
En revoyant Sous le Soleil de Satan (comme je ne pourrai pas aller à la cinémathèque de Paris voir le cycle Pialat, je me la fais sur le canapé Fly) j’ai pensé à la déclaration d’Yves Montant pendant le festival de Cannes de 1987 (je repense souvent à cette phrase, quand il y a des films avec Dany Boon ou Jean Dujardin qui sortent) : « heureusement qu'il y a des Pialat, des Godard, des Resnais, pour porter le cinéma à une autre hauteur ». J’ai pensé que Pialat était mort. Et qu’Yves Montant aussi.
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