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Il y a longtemps dans ce blog, je listais les films que je regardais.
He ben je vois pas pourquoi j'ai arrêté, ça faisait toujours une note.
Evidemment, je ne vous remets pas Rabbi Jacob à chaque fois que je le regarde hein.
Sinon, ce mois-ci la cinémathèque de Luxembourg, dont je ne cesserai jamais de vanter les mérites (et c’est pourtant pas souvent que vous me verrez dire du bien de ce pays), programme entre autre, l’intégralité des aventures d’Antoine Doinel dans une rétrospective appelée Vivement Doinel!; à savoir les 400 coups, Antoine et Colette, Baisers Volés, Domicile Conjugal et l'Amour en Fuite dont cette chanson de Souchon qui a été reprise par Vincent Delerm.
Bref, vous saurez ou me trouver.
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Un voyage en Thaïlande mériterait un mieux conte-rendu, mais fuck en fait.
L'info du jour, c'est que j'ai collé des paillettes sur l'arrière de mes bottines.
J'avais vu des tutos partout sur les internets, et moi aussi je l'ai voulu.
De la colle, un pinceau, des paillettes, ah oui et des boots.
Et bam!
Brille, brille, brille, brille!
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Je suis allée voir L'amour dure trois ans, et j'ai beaucoup aimé, sans être forcément convaincue du casting (j'aurais préféré Garrel en Beigbeder, mais tu peux te brosser Martine) ni d'autre chose (mouais Louise Bourgouin, mouais les seconds rôles, mouais l'extrapôlement autour du roman), j'aime juste ce que fait Beigbeder, inconditionnellement, et plutôt sans m'en vanter: je n'aime pas aimer Beigbeder.
Il se trouve aussi que ses livres passent bien en films car ils sont imbibés de références, souvent cinématographiques ou musicales qui intégrées au films t'évitent d'aller sur Wikipedia et Youtube toutes les trois minutes.
Dans L'amour dure trois ans, l'accent était mis sur les musiques de Michel Legrand, qui, je peux vous le dire, sont remontées en flêche dans mon iPod, notamment cette version des Moulins de mon Coeur par Frida Boccara, que j'avais découverte en écoutant L'année où Piccoli qui me faisait tant pleurer après avoir vu Les Choses de la Vie.
Sinon, les Bien-Aimés sont enfin sortis en DVD et j'ai pu repleurer à larmes cuisantes.
C'était un point cinéma, en somme.
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Pendant les vacances, je me rends compte que je vieillis ou que je m'embourgeoise.
Les trips Robinson-like dans des hotels pourris sans eau qui m'enchantaient il y a peu me tapent sur les nerfs.
Je me sens comme un poisson dans l'eau à Bangkok, et compte les jours sur la pourtant paradisiaque île (presque) déserte. Va comprendre Marcelle.
Pour tuer le temps, j'ai lu le journal de Madame Coppola, qui a elle aussi des problèmes de riches, mais qui donne envie de revoir Appocalypse Now là, tout de suite, Now en fait.
Ce sera chose faite ce soir.
Sur ce, bon retour, moi.
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